Selon le Dr Larry Dossey, codirecteur du centre Corps & Esprit de la clinique de Harvard, il y aurait 3 périodes d'évolution de la médecine. Elles sont à la fois distinctes et complémentaires :
- La première ère correspond à la "médecine matérialiste" dont le champs d'action est axé sur le corps physique par des outils tels que la chirurgie, les médicaments. C'est la médecine conventionnelle que l'on retrouve dans la plupart des pays occidentaux.
- La seconde ère, apparue depuis les années 1970-1980, est celle de la "médecine corps-esprit" qui intègre le fait que nos émotions puissent influencer l'état de santé de notre corps physique (maladies psychosomatiques) et inversement. Les médecines naturelles telles que la naturopathie mais aussi le yoga, biofeedbach (etc) prennent en compte l'influence mutuelle du corps physique sur le corps émotionnel.
- La troisième ère est celle qui se dessine depuis les années 1990 avec les approches énergétiques et de médecines dites "non locales" telles que les soins à distance. Cela suggère d'intellectualiser et, au delà, d'intégrer que la conscience (et donc son champ d'action) est située hors du cerveau et contrôle la matière. Cela implique de reconnaitre la présence de centres énergétiques, de méridiens, de corps énergétiques subtiles mais aussi d'un espace-temps bien différent de celui que l'on conçoit actuellement.
Si dans certains pays, la médecine ancestrale est encore présente et autorise la présence de centres hospitaliers médico-énergétique (Brésil par exemple), dans nos pays occidentaux où la science bio-médicale "démontrable-vérifiable-reproductible" exige des études à large panel de façon statistiquement reproductibles, il y a comme un rejet de cette troisième ère. Enfin... de façon officielle, mais de façon officieuse cela s'avère évidemment fort nuancé (et tant mieux, n'en déplaise à tout.e.s celles et ceux qui hurlent au charlatanisme) !
Je crois fondamentalement à l'interconnection des différentes approches pour soutenir la santé des populations mais aussi pour protéger notre environnement en pleine mutation (produire des médicaments de synthèse n'est pas écologique, mais le marché des compléments alimentaires et produits naturels ne l'est pas tellement plus).
Je ne parle pas ici tant de techniques ou de métiers, j'évoque plutôt les différents niveaux de soutiens thérapeutiques complémentaires : physique, psychique, vibratoire.
Sachant que cela correspond à chaque fois à une approche sur des densités énergétiques variables.
La vraie médecine intégrative n'est pas l'association d'approches telles que timidement proposée actuellement : médecine générale - réflexologie plantaire - psychologue - nutritionniste (ou nutrithérapeute, diététicien.nne). Car cela reste dans la première et seconde ères et ne saurait aider aux pathologies chroniques désormais fortement présentes, ni celles en cours de développement.
En tant que thérapeutes, nous devons aller bien plus loin, au delà des frontières autorisées par le science biologique et médicale.
Par conséquent, il est nécessaire de plonger dans le quantique et toutes ses zones d'incompréhension, dans l'immensité des possibilités de guérisons, au cœur des miracles de ceux qui dépassent tout bon sens cartésien et rationnel.
Ne pas oublier que chaque ère de médecine est alliée des autres. Travailler sur les corps énergétiques subtiles sans investiguer sur le corps physique n'aurait (actuellement) que peu de sens.
Je défends avec ferveur cette médecine considérée comme celle du "future" mais qui, à mon sens, n'est finalement que la réconciliation des médecines et sagesses ancestrales avec les technologies et connaissances d'aujourd'hui.
Texte : Peggy Naturopathie - Illustration : ?
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